Cet article résulte d’une recherche approfondie à partir de l’histoire et de la généalogie familiale, de l’anthroponymie (étude des noms propres) et de l’histoire locale pour en vérifier la cohérence et la plus grande probabilité.

Rappelons qu’en généalogie, les filiations sont vérifiables, selon les communes, jusqu’en 1630 environ. Entre 1630 et 1520, des actes disparus ou insuffisamment renseignés génèrent des incertitudes, même en croisant les données avec les témoins et les fratries.

Avant, il est impossible d’établir des filiations. Dès lors, nous ne parlons plus de grands-parents, mais de cousins puisque les Radigois proviennent d’une seule souche et les hypothèses proposées seront alors déclinées au conditionnel.

Les références sont rassemblées en fin d’article. Celles des Radigois antérieurs à 1520 proviennent de documents d’époque de types juridiques (Chartrier du Bois de la Musse (1400 - 1500) ou de chroniques (Jehan Froissart, 1359 ; le Livre rouge d’Eu, 1151-1454 (abbé A. Legris, 1911). L’anthroponymie s’appuie notamment sur les sites de Jean Tosti.