Plan du site / nous contacter | |
 |
Accueil / Notre famille /Nos grands ancêtres |
Nos grands ancêtres |
|
Désormais, pour chaque histoire et lors de nos rassemblements, nous identifierons les branches par des couleurs, en lien avec les grands ancêtres, souches de ces branches. Ainsi vous trouverez facilement les événements vécus par vos ancêtres et cousins en ligne directe, racontés dans la rubrique « Histoire des Radigois » et vous reconnaîtrez aisément vos cousins contemporains lors de nos rencontres.
|
|
|
Quels sont vos grands ancêtres ? Quelle est votre branche ?
Rappelons que les filiations sont vérifiables, selon les communes, jusqu’en 1630, environ. Entre 1630 et 1520, des actes disparus ou insuffisamment renseignés génèrent parfois des incertitudes, même en croisant les données avec les témoins et les fratries. Par exemple : « sépulture de Jean Radigois le 12 mars 1620 âgé de viron 58 ans ». Certaines filiations, bien que fort probables, restent donc non authentifiées à ce jour. Il se peut que des nouvelles données modifient partiellement nos tableaux. Avant 1520, c’est impossible.
Les quatre tableaux ci-après, indiquent les couleurs des branches à partir des souches que constituent les grands ancêtres. Ils précisent quelques éléments d’histoire et d’implantation des branches. Le dossier « Si notre nom pouvait parler ? » complète les informations.
Comment découvrir ma couleur ?
Pour la trouver, vous avez trois solutions :
- Vous avez mémorisé la couleur de la pastille que vous portiez à l’une ou l’autre de nos rencontres ? C’est la bonne.
- Vous connaissez votre grand ancêtre ou vous l’avez trouvé en remontant votre généalogie sur le site ?
Les tableaux des grands ancêtres vous indiqueront la couleur.
- Vous n’avez rien de tout cela ?
Adressez-nous un courriel (les adresses sont sur la page « association » et sur le « P’tit Radi ».
|
|
|
Grands ancêtres Guillaume Radigois (Saint-Herblain), né vers 1526,
et Pétronille Raguideau, née vers 1531. |
|
|
 |
Ils incarnent la souche principale. Trois de leurs petits-enfants ont ouvert des branches très présentes de nos jours :
1. Branche orange |
2. Branche rouge |
3. Branche rose |
|
|
L’honorable Homme, Guillaume Radigois (1582 - 1673) et Janne Garreau (1597 - 1644)
Avant la Révolution, ils habitaient essentiellement Saint-Herblain, Couëron, Indre et Doulon. Ils ont donné des générations d’Honorables Hommes. Ils étaient surtout agriculteurs avec parfois une petite activité de notaire
|
Jehan Radigois (1569 – 1637) et Rolande Duret (1577-1631)
Leurs descendants se rapprochent du même profil que ceux de Guillaume et Janne, ci-dessus.
|
Julien Radigois (vers 1575) et Gillette Cormerais (décédée en 1643)
Certains prennent le même cursus social, mais beaucoup se sont retrouvés sur Indre où ils se sont tournés vers des métiers de barger, pilote, lamaneur, et ce, jusqu’au XIXe siècle.
|
|
|
Grands ancêtres Jacques Radigois et Jacquette Bernard (1560) |
|
|
 |
|
Leurs petits enfants apportent deux branches à leur souche. Ils sont sans doute les plus nombreux, mais, avant la Révolution, ils se positionnent sur le nord de la région nantaise.
|
|
|
1. Branche verte |
2. Branche violette |
|
Pierre Radigois (Saint-Herblain, 1611 - Héric, 1678) et Jeanne Gergaud (Héric, 1609 - 1670) engendrent la branche d’Héric
Elle est dite d’Héric, parce que c’est la première commune d’arrivée, mais ils ont bougé entre Nozay, Abbaretz et tout ce secteur. Jusqu’à la Révolution, ils sont le plus souvent agriculteurs.
|
Jan Radigois (Saint-Herblain, 1626 – Indre, 1660) et Catherine Oresve (Indre, vers 1630) ont créé la branche d’Indre
Près de deux siècles plus tard, une sous-branche d’Indre s’installera à Nozay, dont Pierre Hilarion Radigois (1790 – 1835) et Rose Lemercier-Duquesnay (1791-1872, parents, entre autres, des papetiers. Ces Radigois ne sont donc pas de la branche d’Héric, même s’ils partagent avec eux leurs grands ancêtres.
Notons que l’un des frères de Pierre et de Jan, le sieur et maître Michel Radigois, honorable homme (Saint-Herblain, 1616-1663) et Louise Poisson (Indre 1628 – 1676) furent les parents de Louys Radigois, procureur fiscal enterré dans l’église de Couëron, dont les signatures font l’objet d’un récit. |
|
|
Grands ancêtres Adrien Radigois (vers 1672 - 1738)
et Catherine Pérrère (vers 1686 – 1736) |
|
|
 |
|
Branche bleue
Chronologiquement, cette branche bleue est la plus jeune, bien que leur ascendance est indiquée. Toutefois, le mariage d’Adrien et de Catherine, en 1704, est un élément particulièrement fondateur. Ce mariage offre à leurs descendants et, par ricochet à tous les cousins de la « grande famille », la richesse, la fierté et la complexité d’une famille nourrie d’une triple culture issue de trois continents : amérindienne (Caraïbes), européenne (Bretagne, France) et afro-antillaise, et ce depuis plus de 300 ans.
Les écrits d’un avocat de Tobago ou des rapporteurs à l’Assemblée nationale remarquent les valeurs et les compétences du chef Indien Louis Radigois et de ses sept familles (Cf. Louis Radigois et l’affaire de Tobago).
Les recherches dans les archives sont compliquées pour cette branche : celles de Martinique ne sont pas accessibles en ligne et certains de leurs enfants ou petits enfants se sont installés, au moins un moment, sur Sainte-Lucie, Tobago ou Trinidad et sans doute ailleurs dans les îles. Il nous faudra du temps pour parvenir à obtenir des informations.
|
|
|
Grands ancêtres Jan Radigois (né vers 1606 – 1645)
et Louise Rouziou (née vers 1606) |
|
|
 |
|
Branche jaune
Ces grands ancêtres sont déjà sur Orvault. Ils ont d’étroites relations de cousinages avec des Radigois de Saint Herblain (sans doute Guillaume et Janne Garreau), mais l’état des documents d’archives (illisibles) rend actuellement leur filiation insuffisament authentifiée.
Leur petit fils, René Radigois (né en 1719) et Janne Hubon ouvrent la branche jaune.
D’Orvault, ils émigreront vers le sud Loire vers 1810 : Pont-Saint-Martin, Saint-Aignan d’une part et Vertou, puis Saint-Sébastien-sur-Loire, d’autre part. Ils seront agriculteurs pour les premiers et plusieurs des seconds navigueront.
Ce fut, un moment, le cas d’Alfred Radigois, qui donna son nom à une place de Saint-Sébastien.
|
|
|
|
|
|